L’urgence après le crash en forêt : «on ne pourra pas avancer sur l’enquête si l’on ne peut pas examiner l’épave», prévient le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile
L’urgence, c’est donc bel et bien, le rapatriement de l’épave de l’appareil sur le littoral. « Il va falloir faire une préparation du site, abattre des arbres, probablement couper des pièces sur l’épave et donc documenter ce que l’on fera, afin d’être sûr que la provenance de ces futurs dommages soit bien identifiée. Et enfin hélitreuiller l’épave jusqu’à un hangar à Cayenne», note Vincent Ecalle. Et l’enquêteur de prévenir : « On ne pourra pas, nous BEA, avancer sur l’enquête si l’on ne peut pas examiner l’épave (…) Pour nous, la barrière à franchir c’est vraiment s’assurer que cette épave…
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