L’urgence après le crash en forêt : «on ne pourra pas avancer sur l’enquête si l’on ne peut pas examiner l’épave», prévient le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile
Vendredi, cela fera 9 jours que l’épave de l’hélicoptère Bell 206 B qui s’est écrasé le 2 mai dans le secteur de Belizon, provoquant la mort de deux personnes et un blessé grave, sera embourbé dans la forêt guyanaise. L’expertise de l’appareil ne pouvant techniquement avoir lieu en pleine forêt, faute d’accès à certaines pièces, l’appareil étant couché, le BEA, le bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile, estime «urgent » d’hélitreuiller l’épave de l’appareil accidenté afin de pouvoir l’expertiser convenablement dans un hangar sur le littoral guyanais. «L’important, c’est de mettre en œuvre tout ce qu’il faut pour pouvoir ramener l’épave parce que, compte tenu des…
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