Le WWF Guyane et le bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) d’Orléans ont démontré en février 2016 (Guyaweb du 26/02/16) à travers le programme TAO qu’il est possible en Guyane et au Suriname, comme dans d’autres régions extractivistes du monde, de distinguer les types de gisements et les sites d’extraction d’où est issu l’or grâce à sa signature chimique. L’organisation environnementaliste présente cette annonce comme un moyen de lutte contre « l’orpaillage illégal ». Entretien avec Marian Eabrasu, professeur associé en responsabilité sociale des entreprises à l’école de commerce de Troyes. Il estime que la traçabilité de l’or n’est pas la…