Leur réserve parlementaire
Un communiqué chasse l’autre. Et en matière d’affichage de sa « transparence » et des « subventions » distribuées, les parlementaires sont désormais volubiles. Ainsi, une semaine après la communication par Gabriel Serville de l’utilisation de son enveloppe parlementaire, la députée Chantal Berthelot la dévoile, ce jeudi, suivie de quelques heures par le sénateur Antoine Karam. Chantal Berthelot Sur les 130 000 euros qui lui sont attribués au titre d’enveloppe parlementaire 2016, la députée versera plus de la moitié au milieu sportif. Ainsi que 18 000 € pour l’ « achat de mobilier pour la salle paroissiale » de…
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7 commentaires
Nous attendons M.le sénateur-maire Georges Patient …..
il finit sa sieste
Et les emplois parlementaires ? notre sénateur emploie toujours sa fille ?
http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/employer-femme-senat-une-pratique-legale-encadree-discrete-605305
Mme BERTHELOT, après avoir subventionné de 15000€ une secte (Alliance universelle) en 2015, sur sa réserve parlementaire, retrouverait-elle la voie (ou écouterait-elle la voix, plus orthodoxe) de l’Evangile, en 2016 ?
Amen, Alleluia et Beneficus Satanas.
L’association « l’Alliance universelle » située à Kourou et subventionnée par la députée Berthelot en 2015, n’a absolument aucun lien avec la secte que vous évoquez (un malheureux homonyme si j’ose dire). Il s’agit d’une « simple » fanfare de quartier… On a vu pire en termes de prosélytisme non ?
Sans doute avez-vous raison car l’association -créée en 2008 et implantée à Kourou pour «réaliser des spectacles ou des événements culturels et sportifs- à laquelle vous faites référence se nomme «Alliance universelle des communautés». C’est sous ce nom qu’elle a été enregistrée au Journal officiel. La subvention de 15000€ de Mme BERTHELOT en 2015 avait été destinée, selon l’information divulguée alors, à l’Alliance universelle (répertoriée comme secte). Il semblerait toutefois que cette subvention ait servi à l’achat d’un mini-bus et d’instruments de musique. Cela laisse penser, en effet, à un malencontreux malentendu homonymique. Mea culpa.