Gabriel Serville : “cette gestion de crise est calamiteuse”
Gabriel Serville, député de la première circonscription de Guyane, est revenu pour Guyaweb sur ses différentes prises de position concernant la gestion de la crise Covid en Guyane, qui a débuté officiellement le 4 mars par l’apparition des premiers cas positifs suite à un rassemblement religieux à Mulhouse, la même ville où était installé l’hôpital militaire de campagne. Lundi 29 juin, Gabriel Serville a remis au préfet un courrier actant la rupture de confiance envers la directrice de l’Agence régionale de Santé, Clara De Bort, notamment en raison des essais thérapeutiques en Guyane (1). Dans une vidéo filmée (2) en…
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7 commentaires
tout le monde aura bien compris que la campagne des regionaleS
a commencé…
Sévérité? Notre démocratie, à bout de souffle, en est elle capable ?
Maroilles dans oublier le prochain remaniement ministériel….
C’est quand même un scoop. Un personnage politique ose enfin parler de sévérité, avec tout ce que ça sous-entend.
G. S. parle aussi d’augmenter les renforts de police pour contrôler le confinement. Là aussi, est-ce qu’il ne faut pas lire entre les lignes ? Il y a quand même beaucoup de police municipale en Guyane. Le personnel médical, lui, n’était pas confiné.
Vous pensez à quoi ? que Serville ou Alexandre vont aller à la soupe macronienne ? Compte tenu de leur faible conviction politique il n’y aurait rien d’étonnant. A suivre..
C’est le covid19 au pays des « hommes de peu »
L’ars n’a pas de leçons à recevoir de servile, qu’on se penche sur les rapports de l’inspection générale de l’Education le concernant, sur ces écrits insultants à l’égard des personnels féminins dans un établissement dont il était principal, et la liste est longue…….
Les trois charlots lanceurs d’ultimatums arrivent difficilement à cacher leur manœuvre: utiliser la situation de crise pour leur propre intérêt : les élections territoriales et les sénatoriales !!
Pauvre Guyane
C’est le covid19 au pays des « hommes de peu »
L’ars n’a pas de leçons à recevoir de servile, qu’on se penche sur les rapports de l’inspection générale de l’Education le concernant, sur ses propos ( et non écrits) insultants à l’égard des personnels féminins dans un établissement dont il était principal,( propos consignés dans une pétition adressée au recteur de l’epoque) et la liste est longue…….
Les trois charlots lanceurs d’ultimatums arrivent difficilement à cacher leur manœuvre: utiliser la situation de crise pour leur propre intérêt : les élections territoriales et les sénatoriales !!
Pauvre Guyane