Dimanche 28 Avril

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Le pont discrédité

Le pont discrédité

« L’absence d’inauguration et le report » de l’ouverture du pont sur l’Oyapock « ont participé à l’émergence d’une critique vis-à-vis de l’ouvrage qui fait dire à 50% des personnes [étudiées] qu’il s’agit d’un pont inutile, fantôme ou de l’ordre de la blague », conclut un travail universitaire encadré par le CNRS. Ce dossier transfrontalier est tellement foulé aux pieds, que l’administration française évoque une « ouverture déconnectée de l’inauguration », sans chefs d’Etat. Masqué par l’horreur, l’accord entre la France et le Brésil concernant les transports routiers internationaux de voyageurs et de marchandises a été approuvé en conseil des ministres, vendredi 13 novembre. « L’approbation de…

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29 commentaires

  • Manque a l’étude
    -les « enjeux technologiques » qui gagneraient à être connus au regard de la qualité de fabrication de ce pont,…… Avez-vous été vous promener sur ce bel ouvrage…….les dosages de ciment dans le béton qui s’effrite à vue d’oeil, la ferraille probablement du bon acier Brésilien à ferrer les ânes……
    – les « enjeux financiers « …..Qui s’est gavé et de combien peut-on estimer les malversations ??
    Heureusement que l’étude nous montre que grâce au pont de l’Oyapock on va pouvoir vendre des Rafales au Brésil ……eh beh on n’a pas sorti le cul des ronces

  • Matouryman

    Hérésie, une étude sur 125 personnes, cela me fais penser aux études sur le dentifrice.
    Lorsque le pont sera ouvert, enfin son passage, ceux qui le critiquent seront les premiers à l’utiliser. Ce pont sera une chance pour la Guyane, pas pour ceux qui ce gavent avec les prix,
    et puis on ne dira plus en métropole, « vous êtes dans une ile, sans pont sur l’extérieur »
    (Les chiens aboient, la caravane passe)

    • L’orthographe, cher Monsieur : cela me fais penser , non . Cela me fait penser : fait (3e personne du présent) ! et ceux qui ce gavent, non : ceux qui se gavent.
      Par ailleurs, depuis que chez les chinois il y a du « couac » brésilien, vous avez remarqué le prix du couac guyanais !!!! Délirant.

  • Echanges ? quels échanges ? quand on sait que la BR 156 reste un bourbier piège véhicules, c’est peut-être par là qu’il faudrait commencer : persuader le Brésil et l’état d’Amapa à la terminer. Après on pourra -peut-être – parler d’ouverture.

  • Erratum : « persuader le Brésil et l’état d’Amapa de la terminer ».

  • La Guyane et son administration… que des foutaises, des faux-semblants, des discours creux, des promesses, des mensonges, des gaspillages d’argent.

    « Se débrouiller » au lieu de voler… tout un symbolique de l’ordre moral.

    Le pont symbolise à lui seul le « projet Guyane », la « politique guyanaise » de l’administration étatique mais aussi des Guyanais eux-mêmes.
    Après de telles gabegies, y en a qui s’étonnent du vide comique des commémorations officielles. Commémorer… c’est tout ce qu’ils savent faire.
    Le pont symbolise à lui seul la réussite de l’immigration à la guyanaise depuis quatre siècles. Tout ce qui se réalise sur cette terre est futile, tout ce qui serait salutaire ne se réalisera jamais.

    Ce pont est né parce qu’un président français s’est soulé la gueule et a finit par appeler son homologue brésilien « président du Mexique ». Par sursaut d’orgueil il s’est engagé à faire un pont sur place, pour montrer oh combien magnifique est la France.
    Il a tenu parole, cet imbécile.

  • vive ce pont et cela prouve notre retard.

    • Il y a eu besoin de dépenser 50 millions pour prouver un retard quelconque ?

      • De toutes les façons on aurait dépenser plus dans quelques années.
        Il y a un moment où il faut prendre une décision et une voie à suivre.
        On n’a bien fabriqué des rafales invendables. etc… et on parle et on critique.
        il faudra maintenant un autre pont sur le maroni. Une route pour saül.
        c’est notre environnement et trop de gens veulent nous laisser enclavé

  • Bonjour
    Bilo a raison Vive le pont !! Enfin un monde meilleur …… Plus de vie chère , arrivée massive de bons produits sino-brésilien de qualité sans aucune norme applicable ( allez faire un tour « en face  » dans les échoppes et vous serez mieux apprécier , toucher, juger…., quoique vous avez raison on a les mêmes à Cayenne pour plus cher !!!) donc pour developper puisque nous rattrapons notre retard et que la vie devient merveilleuse grace au pont : disparition de la vie chère =suppression des artifices liés à la vie chère….. donc salaires sans coefficient multiplicateur, yess !!! Une Guyane sans fonctionnaires métropolitains au (haut) salaire indexé mais aussi sans agents des collectivités et assimilés indexés sur les mêmes grilles indiciaires ( gagner plus ne en faisant moins) , suppression des surtaxes sur les taxes de tous les produits importés (99,9% de ce que nous consommons en Guyane), donc tous les grands travailleurs des chambres ( marrant d’ailleurs, une chambre c’est bien là ou on dort non ?:,) de commerce, des Metiers, de l’Agriculture et des Sports , Port, Aeroports, transports pffft terminé le gavage enfin des salaires normaux sans vie chère
    Et pour aller au bout du bout du raisonnement si suppression de vie chère , plus d’immobilier délirant et ses valeurs fantasques ?? qui pourra se loger et acquerir son logement au prix du marché actuel ?? enfin de l’essence et du gazole à un prix abordable finis les monopoles tordus et aidés par les représentants des guignols qui nous gouvernent à petit, moyen,haut, niveau , quid des appels d’offres de nos collectivités , services et divers quand il y aura à apporter les preuves d’origine des équipements et matériaux de cosntrcuction hummm le bon ciment bresilien , la bonne ferraille bresilienne ……
    vive le pôle ( emploi s’entend car nous irons tous y faire un stage de longue durée , enfin pour ceux qui connaissent le mot et le mode « emploi »)
    Enfin pour ceux qui penseraient que ce pont des soupirs permettra , à l’Europe de pénétrer le marché du Mercosul, à la France d’inonder le marché Bresilien, à la Guyane de manger le marché de Oiapoque de nos bons produits CEE ……rendez vous apres l’ouverture
    Hasta la revolucion siempré

    • Ah bon, seuls les fonctionnaires métropolitains ont un salaire majoré ? En somme, votre douce utopie d’une Guyane sans fonctionnaires métropolitains s’apparente un amer racisme. C’est sûr qu’avec de belles idées comme cela, vous faites un vrai révolutionnaire ! Quant aux « produtos do Brasil » bon marché qui entreraient massivement par le pont salutaire, nul doute qu’ils permettraient aux entreprises et industries guyanaises de poursuivre leur développement et de devenir compétitives, prises qu’elles sont déjà dans un carcan administrativo-réglementaire ! Au fait, je n’y vais plus en face -et je ne suis pas le seul- parce que les prix à Oiapoque sont les mêmes, sinon plus élevés, qu’à Cayenne ! De plus, il semblerait que nos voisins ne soient pas pressés d’exporter leurs marchandises de l’autre côté du fleuve. C’est de leur côté que les choses traînent. Finalement, à part permettre à quelques révolutionnaires en mal de virée motorisée de traverser le Nordeste, je ne vois pas qui d’autres ce pont ruineux pourra ravir !

      • Sur le plan purement technique, la douce utopie de Marco ne serait que le minimum vital pour sortir du carcan administrativo-réglementaire que vous dénoncez à juste titre.

        Soyez certain qu’aucun élément de compétitivité ne saurait faire décoller une économie aussi dépravée que celle de la Guyane, mort-née du monstre politico-administratif. Pas même le déversement continu des subventions de toutes sortes.

        Quant au « désenclavement » de la Guyane par ce pont, cet élément de langage des fous tient à l’ignorance : Amapa est et restera lui-même enclavé au sein du Brésil. C’est aussi l’état brésilien le plus pauvre et le plus corrompu. Il n’a que sa m..e pour offrir, la Guyane est la seule à ne pas le savoir.
        Nos dirigants sont des crétins.

      • Prenez le temps de lire ce que j’ai ecrit avant d’ecrire n’importe quoi !!!
        J’ai parlé des fonctionnaires ET des assimilés des collectivites locales ……. Pas et point de racisme !! Porquoi juger quelqun sans rien lire ??
        Je n’ai pas parlé dune Guyane utopiste sans fonctionnaires, je parle d’une vraie Guyane sans chasseurs de primes rémunérés au juste prix pour un juste boulot ( ça pour le coup c’est utopique!!!)
        Pour ce qui est de la competitivité des entreprises …..mouais mouais , rappellez vous du bon temps d’avant ou un certain illustre commerçant libano-guyanais achetait ses marchandises ( viandes, automobiles et …..autres) au Bresil ….en faisait-il profiter l’économie Guyanaise ou son propre profit , je n’ai pas souvenir qu’il en soit devenu compétitif!! Plus riche sur le dos des Guyanais oui !!
        Pourquoi quand on interroge les habitants de St George disnt-ils qu’ils vont en face pour faire leurs courses ?? Pourquoi quand on voit le retour des pirogues d’en face sont-elles chargées ?? Si je suis votre raisonnement ce ne serait pas le cas ???
        A contrario je rejoint totalement le raisonnement d’Epurea
        Pour ce qui est de la révolution n’est ce pas aussi le fait de revenir à son point de départ apres avoir parcouru son chemin , alors oui à la révolution perpétuelle , coupons les têtes inutiles

      • Mon dernier commentaire s’adresse a Ti Gibus , non à Eperua

        • Pour que je sache lire, il faudrait que vous sachiez écrire et exprimer sans ambiguïté le fond de votre pensée. Je vous cite : « Une Guyane sans fonctionnaires métropolitains au (haut) salaire indexé mais aussi sans agents des collectivités et assimilés indexés sur les mêmes grilles indiciaires ». Vous stigmatisez bien en premier lieu les fonctionnaires métropolitains et ensuite les agents territoriaux. Or, il n’y a pas que les métropolitains qui soient fonctionnaires. Ce qui revient à les exclure, eux et eux seuls, de votre raisonnement. Votre second commentaire ne fait que confirmer votre propension à étaler vos préjugés à l’encontre de cette catégorie. Pour le reste, je vous laisserai apprécier d’ici quelques années tout le bénéfice que la Guyane tirera de ce pont. Pas sûr que les Brésiliens le franchissent d’ailleurs pour commercer avec nous. Il serait plus urgent de développer des industries en terre guyanaise pour répondre aux demandes sans cesse croissante et absorber le chômage endémique et élevé. L’urgence est à la création d’emplois ici.

    • J’ai dit vive ce pont.
      Parce il peut y avoir plusieurs opportunités ou plusieurs désagréments.
      Je vais juste développer une opportunité et clore mon propos.
      Tous les pays communiquent entre eux. Avec ce pont nous allons communiquer pouvoir se déplacer comme tous les pont l’ont permis. Ce pont servira tout être humain qui posera les pieds en Guyane.
      Ensuite que ce soit en 2016 ou 3016 ce pont doit exister. Les hommes ont toujours traversés des fleuves et même des mers.
      Ne cherchant pas les ennuis avec ce pont. Il y en aura et les autorités policières, économiques etc… N’ont qu’à faire leur travail.

    • les fonctionnaires métropolitains sont peut être les seuls à travailler .

  • Ça donne pas le même chose « un devoir de Master et « un travail universitaire encadré par le CNRS ». Au final, je trouve qu’il faut relativiser l’intérêt de cette étude, qui existe surtout pas que tout étudiant de Master doit produire un mémoire. Et lorsque ce pont sera ouvert, qu’il aura desenclavé la Guyane les plus moqueurs oublieront de se moquer et les débuts difficiles de l’ouvrage. Mais bon, il doit se trouver des guyanais ravis que leur territoire soit reclus entre eau et forêt.

  • Tobbie Rat

    Sur le pont d’Oyapock, on y danse, on y danse… Quand il ne restera plus que des bouts de filins d’acier tout rouillés, quand les piles du pont ne seront plus que des émergences semblables au squelettes des arbres de Petit Saut, etc. on fera venir des ethnologues et on se demandera si les Mayas n’étaient pas des parents proches.

  • Ce pont est une aubaine
    Malheureusement, l’administration Brésilienne, aujourd’hui, est la même que celle de la Guyane et de la Métropole. Un nid de Grage qui ignore le peuple des 2 côtés qui souhaitent des échanges sans se prendre la tête pour une ligne imaginaire.
    Vive le plateau des Guyanes et stop au nombrilisme…

  • Ils auraient mieux fait de construire un pont entre Guyane et Surinam!

    • Ou tout simplement refaire celui du Larivot, qui pour le coup, est vraiment vital à la vie économique de la Guyane !

  • Alessandro de Sousa Alencar

    Muita especulação. Eu cansei. Apenas abram, nós pagamos, então abram! Mas abram de verdade! Sem disparidades no tratamentos dos cidadãos das duas margens. Parece logico, não?
    Beaucoup de spéculation. Je suis fatigué. Seulement ouvrez-le, nous avons payé, alors ouvrez-le! Mais ouvrez-le vrai! Sans disparité de traitement des citoyens des deux rives. Il est logique non?

    • C’est un pont, mon cher Alessandro, qui a fait couler beaucoup d’encre, qui coule les finances publiques, à l’ombre duquel les Oyapockois peuvent se la couler douce et sous lequel l’eau n’a pas fini de couler avant de voir un commerce transfrontalier s’établir (sauf à faire du Nordeste une destination touristique prisée d’aventuriers motorisés en provenance de la Guyane, le contraire me paraissant très improbable). Economiquement, je doute fort qu’il comble vos espoirs. Il reste une construction aussi symbolique d’un rapprochement plutôt timide qu’inutile. Sinon pourquoi l’Amapa et le gouvernement fédéral ne s’activeraient pas davantage pour l’ouvrir ? Tout simplement parce qu’ils n’ont rien à y gagner et que, pour eux, Oiapoque reste, pardonnez-moi l’expression, le trou du cul du Brésil, tout comme la Guyane est la cinquième roue du carrosse de la France. Alors, pour moi, ce pont, c’est un grand coup d’épée dans l’eau !

  • Alessandro de Sousa Alencar

    Et merci Priscila pour son étude, il me semble très oportun!

  • 06 décembre 2015

    Les réactions générées par le sujet sont révélatrices de ce que le pont représente pour les citoyens.

    L’étude réalisée s’inscrit effectivement dans le cadre d’un stage universitaire, il faut donc la replacer dans son contexte : 5 mois passés à répertorier les publications médiatiques, à rencontrer des gens localement, à lire des rapports officiels, des lectures universitaires, à tenter de comprendre un contexte politique. Loin de s’ériger en rapport complet sur l’objet du pont (qui pourrait oser présenter une telle ambition?) il participe à approfondir la compréhension que l’on peut avoir de cet objet social qu’est le pont frontalier de l’Oyapock. Libre à chacun de venir l’alimenter, le corriger et le discuter pour se rapprocher toujours un peu plus d’une analyse la plus complète possible.

    Ce qui est intéressant finalement c’est de constater les débats qui sont soulevés par la présence de ce pont sur l’Oyapock : vous parlez d’un pont sur le Surinam, mythe ou réalité? Il semble effectivement que ce pont a « le dos large » si je puis dire, il est aussi finalement un moyen pour la population locale (appuyée par le discours médiatique) d’exprimer les préoccupations du territoire (chômage, immigration, orpaillage, etc). Est-ce vraiment le pont qui est critiqué? Comme l’anticipe Jf gauhtier, il y a fort à parier que les plus critiques seront les premiers à utiliser le pont. Aucun discours de boycott ne s’est fait entendre, et l’on est bien loin d’une occupation zadiste au pied de l’ouvrage…

    Voilà à quoi doivent servir les rapports scientifiques à mon sens,
    à votre disposition pour échanger davantage.

    Et merci Alessandro, je vois que tu suis le sujet ! à bientôt

  • 15 décembre 2015

    Não é tão simples assim. O término da obra em 2011 foi apenas a primeira etapa. O funcionamento da ponte depende da aprovação por parte de ambos os países de acordos para a circulação de pessoas e de mercadorias, e essa é a etapa mais difícil, mas que agora parece estar sendo superada.

  • 15 décembre 2015

    Outro ponto, a Guiana jamais conseguirá enfrentar a questão da imigração clandestina se continuar de costas para a América do Sul.

  • 15 décembre 2015

    Mas acredito que a integração do Amapá com a Guiana é um fator relevante para os dois lados. Representa o reatamento dos laços perdidos no passado.

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