« Poésie de la solitude »
Ismael Mundaray s’était fait connaître en Guyane lors des « rencontres inter-caribéennes des plasticiens » de la fédération des œuvres laïques il y a vingt-et-un ans. Le peintre revient pour une exposition touchante et inédite qui fouille le rapport de l’homme à l’objet, à la nature. « Vous trainez en forêt et vous trouvez des tongues, une valise, des chaises et on se dit, comment ça peut arriver là ? » s’interroge Ismael Mundaray qui fixe sur le châssis, des rencontres « insolites » vécues ou imaginées d’« un lit en fer en plein forêt », d’un canapé en cuir rouge abandonné dans un espace…
La suite de cet article est réservée aux abonné(es).
Rejoignez-nous et faites vivre l’information d’intérêt général et de qualité. Restez bien informés et accédez à nos informations, reportages, enquêtes et analyses, à lire nulle part ailleurs !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonne
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.