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Siméon Monerville : « le chef coutumier est le trait d’union dans la communauté »

Siméon Monerville : « le chef coutumier est le trait d’union dans la communauté »

À 29 ans, Siméon Monerville a été désigné par les Teko pour prendre la suite du chef coutumier Guy Barcarel, décédé tragiquement en mai. Son intronisation aura lieu ce samedi 9 décembre à Camopi. Entretien avec le jeune chef coutumier. Comment se passe la désignation d’un nouveau chef coutumier ? Par une élection ? La désignation du chef coutumier s’est passée par un vote à bulletin entre cinq candidats (1). Tous les Teko du fleuve pouvaient voter. La réunion s’est faite chez un ancien très respecté, André Takoulouman Suitman, et j’ai été choisi. Je serai intronisé officiellement le 9 décembre. En principe,…

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10 commentaires

  • Morvandiau
    09 décembre 2023

    On ne peut que souhaiter force et courage à ce jeune chef coutumier.
    Il aura à faire face à des menaces qu’on pensait révolues, à une nouvelle phase de colonisation de sa nation et de ses terres. Cette colonisation se dissimule derrière le mot développement désormais. Et ce développement se fera entièrement aux dépends de son peuple malgré toutes les promesses et belles paroles qui seront tenues.
    On se rappellera comment la caste politique Cayennaise a imposé le fonctionnement occidental avec la création de la commune de Camopi, pour tuer le droit coutumier et réduire ses habitants à l’état d’électeurs dont on ne se soucie que la veille des élections, en venant les pirogues chargées de rhum et caisses de poulet en échange des consignes de vote.
    On se souviendra aussi comment le MDES est venu manipuler et diviser la population de Camopi en 2015 pour qu’elle refuse la charte du Parc, et comment celui qui est désormais député, accusait ensuite par communiqué les amérindiens du bourg d’être manipulables et racistes envers les créoles…
    Et l’avenir n’augure encore rien de bon.

  • Bello973
    09 décembre 2023

    « … On se rappellera comment la caste politique Cayennaise a imposé le fonctionnement occidental avec la création de la commune de Camopi… »

    On se rappellera notamment qu’à l’époque, le sénateur « Cayennais » à la manœuvre entre 1962 et 1971 s’appelait Robert Vignon, ancien premier préfet de la Guyane de 1947 à 1967 et premier maire de Maripassoula en 1969. Un Sénateur « imposant » donc aussi la création de la commune dont il allait devenir le premier maire. Une caste politique… c’est bien vrai. Cette logique assimilationniste, cette « francisation »…répondant effectivement aux aspirations de la plupart des premiers assimilés du littoral, parfaitement alignés et conditionnés à cette doctrine. Mais ce choix assimilationniste fut bel et bien décidé et imposé depuis l’assemblée nationale à Paris. Ni plus ni moins que le rouleau compresseur de la doctrine d’assimilation de notre nation, la même que pour les Homes indiens… Absolument rien de spécifiquement «Cayennais» donc, mais bien au contraire une philosophie politique des plus française.

    Le futur congrès sur la question autochtone nous en dira on l’espère un peu plus sur l’avenir. Mais pour l’instant, la seule personnalité politique qui ait officiellement défendu le principe d’un organe autochtone décisionnaire, c’est Éline Grand-Emile du MDES. Espérons que sur ce sujet le député Castor soit au moins à la hauteur de sa suppléante.

  • Bello973
    09 décembre 2023

    Erratum…Vignon premier préfet de la Guyane de 1947 à 1955.

  • Morvandiau
    10 décembre 2023

    La réécriture de l’histoire butera toujours sur des faits incontestables.
    C’est l’État qui a mis en place le statut du territoire de l’Inini, accordant pour la première fois un statut spécifique aux populations autochtones, autonome et indépendant du conseil général.
    Les élus créoles de Cayenne n’ont eu de cesse dès lors de demander sa suppression, voyant dans le territoire de l’Inini une atteinte à leur volonté d’hégémonie sur toute la Guyane, privant l’accès aux ressources naturelles (souvent très fantasmées, ce qui est d’ailleurs toujours le cas) dont ils se revendiquent les seuls propriétaires pour construire leur idéal de nation créole autonome.
    Ils n’ont jamais eu la moindre considération pour les populations autochtones, pensés comme des sauvages primitifs en raison de leurs liens avec la forêt.
    Le député Léon Gontran Damas a d’ailleurs été le premier à demander la suppression du statut de protection du territoire de l’Inini, suivi par le reste des élus créoles dont Catayée.
    Ces élus, que certains portent aujourd’hui aux nues, ont été les artisans bien conscients d’un processus totalement prémédité de l’assimilation forcée et de la destruction des modes de vie, cultures et identités des nations autochtones.
    L’État qui a dû cédé à ce lobbyisme acharné, a tout de même fait ce qu’il a pu dans la limite du cadre legislatif pour prolonger un statut spécifique de protection de ces populations, que les élus créoles s’acharnèrent finalement à détruire.
    L’opposition à la création et maintenant à la destruction du Parc National est un autre exemple du rejet à toute protection de l’intérieur de la Guyane et de ses habitants.
    Il y a donc clairement une volonté historique persistante du coté de la classe politique Guyanaise à empêcher toute différentiation, tout statut particulier, toute autonomie, des populations autochtones ou bushinengés.
    Les débats ahurissants sur l’évolution statutaire illustrent bien l’ancrage viscéral et sans le moindre scrupule du déni et du mépris concernant ces peuples et leurs droits légitimes.
    Comme on a pu le voir, il y a même maintenant un historien diplômé de l’université de Guyane qui remet totalement en question l’autochtonie des peuples amérindiens, et ses théories trouvent de manière incroyablement aisée, une place dans les discours d’élus de la CTG !
    Et le pire, c’est que cette haine, car il s’agit bien là d’une haine plus ou moins dissimulée, ne repose sur aucune réalité économique, historique ou géographique.
    Elle est uniquement idéologique.

  • Bello973
    10 décembre 2023

    Oups…, le cache-sexe « cayennais » n’aura pas tenu bien longtemps. Re-voici donc les méchants créoles… En effet, le territoire de l’infini, qui demeurait un dernier avatar de l’époque colonial au sein du département, régi par un gouverneur en la personne du préfet…Octroyait aux peuples autochtones un statut de derniers colonisés « protégés », non reconnus comme citoyens français, sans droit de vote donc, sans contrôle de leur territoire, sans accès à l’éducation et aux autres services publics. Quel bienfait à conserver en effet… Et à lire Morvandiau, on se demande presque ce qui le retient d’insinuer que les créoles de l’époque auraient aussi fomenté l’exposition du jardin d’acclimatation de 1892 à force de « lobbyisme acharné »… Et il faut sans doute leur vouer une certaine dose de haine à ces créoles, puisque c’est le registre usité, pour insinuer aujourd’hui que quand Serville et Castor, réclament la reconnaissance de la convention de l’OIT 169, alors que la France s‘arc-boute sur un refus depuis des décennies, ils sont toujours les principaux artisans historiques et perdurants, plus d’un demi-siècle après, de l’assimilation et de l’ethnocide, comme disaient Hurault ou Jaulin. Toujours cette propension systématique à masquer la responsabilité nationale essentielle. Il faut cependant se mettre trente seconde à la place de cette pensée parternalo-colonialiste « dissimulée » qui résiste… Voir ainsi côte-à-côte, Serville, Ferreira, Apouyou, tous trois complices à la têtes de ce congrès des élus… C’est bien là l’ancien joujou colonial qui s’échappe et s’effrite sous vos yeux. Alors autant tenter l’ultime manœuvre désespérée, consistant à certifier que cette union hypocrite reposerait en fait sur de la « haine plus ou moins dissimulée ». En réalité le « créole » Serville haïrait et manipulerait donc, Jean-Paul-Ferreira son premier vice président, ou Jocelyn Thérèse et René Monerville, les membres de sa majorité… Là Morvandiau nous fait de la sociologie politique en mode télénovella, des plus croustillante, mais il flirte aussi plus ou moins ouvertement avec l’insulte publique et la diffamation. C’est dire combien il doit être aux abois… Et drôle d’attitude, que cette façon sournoise de faire mine de souhaiter bon vent au nouveau chef coutumier, pour aussitôt lui susurrer à l’oreille que l’un de ses proches (René Monerville) pactise donc avec le diable…

    Néanmoins, au-delà de la théorie du complot créole chère au camarade Morvandiau… Encore une fois il est parfaitement vrai, que pour s’échapper véritablement de ce statut d’assimilés relégués, qui semble demeurer le seul horizon possible sous l’égide du régime administratif actuel. Avec notre Etat qui plus de cinq ans après l’accord semble bien incapable de lâcher les 400 000 hectares promis, ou même d’envisager une simple commission mémorielle symbolique, sur sa politique assimilationniste des homes indiens… Il faudra effectivement exiger et obtenir un véritable rôle décisionnaire au sein du futur cadre administratif qui se discute. Il sera en effet, politiquement impossible pour les élus autonomistes de nous vendre, le cul propre, un projet d’évolution que les peuples autochtones refuseraient en bloc. Alors voyons si cette « haine » des élus créoles, envers leur collègues et concitoyens autochtones et bushinengés, que nous vend et nous garantit Morvandiau, est avérée au point de leur ôter tout discernement permettant de reconnaitre aux peuples autochtones, un droit de décision et donc de souveraineté, qu’ils réclament très légitimement.

  • Bello973
    10 décembre 2023

    Robert Vignon, préfet de Guyane, gouverneur de l’inini, conseiller général d’Iracoubo, sénateur de la Guyane, premier maire de Maripasoula… Une marionnette, victime d’un « lobbyisme archarné » du complot assimilationniste créole, selon Morvandiau. Certains sociologues et anthropologues nuancent pourtant fortement ce genre de caricature éludant sciemment l’immense responsabilité des grands commis de l’Etat:

    « La transformation de la Guyane en département français en 1946 entraîna la fin progressive de la partition de l’espace géographique guyanais avec la disparition en 1969 du territoire de l’Inini. L’un des principaux artisans de cette réforme fut Robert Vignon, premier préfet du département de la Guyane (1947 à 1955), qui occupera par la suite les fonctions de conseiller général, de sénateur du département et de maire de la commune de Maripasoula. Considéré par l’anthropologue Éric Navet comme « un exemple accompli d’agent du système colonial » (Navet, 1990 : 57), le préfet Vignon impulsa une politique dite de « francisation » visant clairement à assimiler les populations de l’intérieur, que d’aucuns qualifiaient alors de « primitives », afin d’assurer leur « développement intellectuel, social et politique » (Vignon, 1985 : 61), selon ses propres mots. « J’incline à penser », écrit-il dans ses mémoires, « que maintenir artificiellement les Indiens dans des conditions moyenageuses (sic), coupés de toute évolution est criminel et s’apparente à un génocide puisqu’en définitive c’est la disparition d’une ethnie qui est en cause » (ibid. : 57).
    Dans les années 1960, Vignon jette donc les bases de sa « politique indienne » dont l’objectif est de favoriser le regroupement et la fixation des populations de l’intérieur. À cette fin, des communes, conçues pour fonctionner comme des pôles d’attraction, sont créées autour d’un noyau tripartite constitué de l’église, du dispensaire et de l’école. »

    Laurent PUREN – Contribution à une histoire des politiques linguistiques éducatives mises en œuvre en Guyane française depuis le XIXe siècle.
    https://books.openedition.org/irdeditions/6957?lang=fr

    Symptomatique de la tactique Morvandiau, caché l’action essentielle de ce Vignon qu’il ne saurait voir, et décrit par l’anthropologue Éric Navet comme « un exemple accompli d’agent du système colonial » (Navet, 1990 )…derrière un complot créole haineux. La ficelle est toujours aussi grosse…

  • Morvandiau
    11 décembre 2023

    Comment pouvez vous accuser Vignon d’assimilationniste alors qu’à la fin des années 40 il présenta au gouvernement son projet d’administration spécifique et bien différencié des amérindiens, inspiré du service de protection des indigènes brésilien ?
    C’est également lui qui créa donc le service de protection des population primitives, en confiant à des ethnologues la gestion de ce service.
    Un des objectifs de ce service était de préserver le droit coutumier, ce qui est incompatible avec une politique d’assimilation.
    Vignon au contraire, était bien conscient de la vulnérabilité post coloniale dans le cadre de la départementalisation de ces populations dont la société créole ne se souciait absolument pas. Députés, sénateurs ou autres élus du littoral de l’époque n’ont d’ailleurs jamais exprimé la moindre considération pour la situation et l’avenir de ces peuples.
    En garantissant une scolarisation pour les enfants amérindiens, l’action de Vignon a permis l’émergence du mouvement autochtone du début des années 80.
    Mais bon, je ne vous apprends rien, tout cela vous le savez pertinemment, vous avez juste besoin de contredire, pour pouvoir vous répandre dans des tartines plus sofistes les unes que les autres vous menant a votre pâmoison quotidienne (j’invente rien, c’est vous qui l’avez reconnu je vous le rappelle).

  • Bello973
    11 décembre 2023

    Tu es plutôt naïf Morvandiau…Si pour toi favoriser la scolarisation dans ce qui deviendra les homes indiens, ce n’est pas aussi de l’assimilation… Quant à te bercer d’illusion sur le but ultime de l’œuvre coloniale, constate plutôt la fine stratégie de Robert Vignon:

    « La différenciation des populations primitives indiennes et africaines de Guyane est trop marquée pour qu’on puisse heureusement réaliser, avant longtemps, une assimilation qui apportera à ces populations de réels bienfaits. Plutôt que l’assimilation brutale, il est préférable – mais l’œuvre de longue durée – de susciter des adhésions à notre genre de vie par l’exemple. […] Cela ne peut se faire que si, au départ, des contacts malheureux ne sont pas pris, si des textes de protection sont établis. […] Il faut pour cela créer une organisation spéciale d’aide sur les plans alimentaire, artisanal, médical et autant que possible, dans les contacts que ces Indiens et ces Noirs ont avec les autres éléments de la population de Guyane ». (Vignon 1954)

    « Plutôt que l’assimilation brutale, il est préférable – mais l’œuvre de longue durée – de susciter des adhésions à notre genre de vie par l’exemple. […] ». Tu saisis l’idée Morvandiau?

    « Je rejoins directement la préoccupation du Congrès pénal de Sao Paulo, et crois très sincèrement qu’il faut arriver à appliquer, en Guyane, une loi primitive qui consacrera les coutumes essentielles de la vie tribale et dont le contrôle serait confié à l’administration préfectorale, la plus habituée, après expériences faites, à poursuivre dans des conditions optimales l’œuvre de développement matériel et mental qu’elle a déjà entreprise selon les données de l’éducation de base définie par l’Unesco. » (Vignon 1954)

    Qu’est-ce donc que cette « oeuvre de développement matériel et mentale » sous le contrôle de l’administration préfectorale, tant voulue par Vignon?

    « La politique conduite par le préfet Vignon portera aussi sur le regroupement, parfois contraint des familles kali’na […]. Il s’agissait de former de gros villages amérindiens à proximité des bourgs. » COLLOMB G., TIOUKA F., 2000, Na’na Kali’na, Une histoire des Kali’na en Guyane, Cayenne, Ibis Rouge.

    Le regroupement contraint à proximité des bourgs…Ça te parle Morvandiau, comme façon de protéger?

    Alors? En quoi ce genre de politique indigéniste ne servait-t’elle pas à faire rentrer les peuples autochtones dans le moule colonial et donc occidental?

    Toujours aussi niais?

  • Bello973
    11 décembre 2023

    Et comme déjà dit, si il y en a qui préfèrent quant à eux se soulager par quelques brèves giclées, au travers de saillies effectivement plutôt limitées, sur le complot « créole haineux »… Soit. Mais on a quand même bien le droit de venir en aide à ces peine-à-jouir englués dans leurs passions tristes quotidiennes (la haine des autres)…Non? Mes objections ne visent donc qu’à favoriser «l’œuvre de développement mental» de quelques « primitifs » accaparés par leurs émotions primaires, en les rassurant sur les bonnes manières de leur concitoyens. Il ne te plait donc pas mon paternalisme à la Vignon, Morvandiau? Tu refuses donc de t’éduquer et « d’adhérer à notre genre de vie » civilisé, qui d’ordinaire bannit la stigmatisation… «la haine des créoles» …d’un groupe ethnique, fut-il largement fantasmé?

  • Bello973
    13 décembre 2023

    Entre autres faits incontestables… La mise en fonctionnement des homes indiens pour accueillir les enfants autochtones, séparés de leurs familles, à Mana (1949), Saint-Laurent (1953) Iracoubo (1954),… a bien été instaurée à l’initiative et durant le mandat préfectoral de R.Vignon.

    https://www.guyaweb.com/assets/F.-ARMANVILLE-M2-Homes-Indiens-red.pdf
    « A la rentrée de 1952/53, ce qui jusque-là était “orphelinat” change de cachet. Il reçoit un bon groupe d’Amérindiennes confiées par “le Service Indien” en faveur des “Homes”, et devient alors Internat Home Indien ». (Source : sœur Paulette : 130). » …à propos du Home indien de Saint-Laurent.

    Nier la fonction et philosophie assimilationniste des telles structures serait tout de même une sacrée réécriture de l’histoire…

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