Le ministère public a requis la confirmation de sa culpabilité, en ce qu’il était en charge de préparer et surveiller les mules et que le rôle attribué à M. Pansa, qui n’arrive que devant la cour d’appel ne saurait convaincre qu’il n’était pas responsable du contenu du second studio. L’avocat de Dominique Galimon, Me Emile Tshéfu, nous a confié qu’il n’avait pas été à la première audience et que son client ne l’avait pas payé lors de l’audience d’appel, ce qu’il a répété au procès. Le conseil du prévenu estime que le jugement est insuffisamment motivé et s’appuie notamment sur…