« Aggravation alarmante » de la qualité de la vie le long du Maroni
Les écosystèmes ripicoles amazoniens le long du Maroni subissent « une aggravation alarmante » de leur état sur plus de 600 km2 à cause de l’activité minière, ce qui « menace à court terme les conditions d’existence » de milliers de villageois·es s’est ému le conseil scientifique du Parc amazonien de Guyane. Pour la sixième fois en dix ans, les scientifiques du Parc amazonien ont signé une motion appelant l’État français et les autorités régionales à prendre « en urgence » des mesures pour la protection du plus grand fleuve de Guyane, le Maroni, bassin de vie de plus de…
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3 commentaires
Ne pas oublier la polution « legale » des decharges municipales et sauvages (car les legales ne sont pas calibres) rive droite, qui degueulent a longueur de temps dans les cours d eau. Et quid des huiles de vidange, batteries pneus, des dechets industriels et ceux issue de la construction civile etc etc etc.
Le paradoxe local dû en même temps: vivre dans le poumon de la planète et au bord de son trou du cul.
20 ans que je suis sidéré du peu d’intérêt des médias nationaux.
Et scandalisé des protestations “du bout des lèvres” de nos élus locaux.