« La préfecture n’a pas les moyens pour assumer ses obligations en matière de police des étrangers »
Pour sa dernière audience solennelle avant son départ à la retraite « cet été« , le président du tribunal administratif de la Guyane, Laurent Martin, n’a pas mâché ses mots jeudi dernier devant un parterre de représentants institutionnels. Administrations sous-dimensionnées, difficultés d’exécution des décisions du tribunal, problème global d’accès aux droits en Guyane, cayenno-centrisme de la justice, droit dérogatoire des étrangers… tels sont les maux identifiés par un président qui n’a cessé d’ouvrir son tribunal sur la société tout au long de sa mandature. Une audience solennelle de rentrée, « c’est un moment important » estime le juge Laurent Martin, président du tribunal administratif de…
Pas encore abonné(e) ?
La suite de cet article est réservé aux abonné(es) de Guyaweb.
Votre soutien nous permet de vous apporter des informations d’intérêt général et de qualité. « La liberté de ton a un prix » : Rejoignez-nous, abonnez-vous !
Lisez la suite pour 1€
Je m'abonneVous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaire
Sans parler du viol constant des règlementations, y compris des lois européennes, par la même préfecture.