CEOG : le tribunal administratif rejette le référé des associations
Le tribunal administratif a rejeté ce vendredi le référé suspension contre le chantier de la Centrale électrique de l’Ouest guyanais déposé le 27 février par quatre associations. Ces dernières accusaient la société de polluer le milieu aquatique à proximité du chantier. Le juge administratif a estimé leurs preuves insuffisantes. Nouvelle passe d’armes dans le dossier CEOG. Electrique sur le terrain ces dernières semaines, la contestation du projet de Centrale électrique de l’Ouest guyanais, dont le chantier a repris mi-février, se joue également en justice. Un référé « mesures utiles« , visant à interrompre le chantier qui engendrerait des pollutions, a été déposé le 27 février…
Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite, identifiez-vous ou abonnez-vous.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Abonnez-vous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à l’intégralité de Guyaweb
Abonnez-vousLaisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
1 commentaire
Et dire que tout cela aurait pu se dérouler de manière plus sereine dans un rapport gagnant – gagnant évident….
Aujourd’hui, les choses peuvent déboucher sur des évènements que personne ne peut prédire et qui seraient bien malheureux pour tout le monde.
Les élus, vous demandez plus d’autonomie par rapport à l’État. Or sur un dossier qui est en plein sur des compétences Énergie quasi-exclusives des collectivités, vous êtes invisibles. Les Guyanais (élus, associations) préfèrent la facilité : tirer une nouvelle fois sur l’Eta