Lundi 04 Decembre

Manifestation contre CEOG : trois personnes convoquées au tribunal judiciaire

Manifestation contre CEOG : trois personnes convoquées au tribunal judiciaire

A la suite de la manifestation extrêmement tendue, vendredi 10 mars, contre l’emplacement de la Centrale électrique de l’Ouest guyanais (CEOG), cinq personnes ont été interpellées et ont été placées en garde à vue. Trois d’entre elles ont été convoquées ce dimanche après-midi par le procureur, au tribunal judiciaire de Cayenne d’où elles sont sorties un peu avant 22 heures. Au cours de la manifestation de vendredi 10 mars contre l’emplacement de CEOG (voir Guyaweb du 11/03/2023), cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue. Un habitant du village de 17 ans et une femme ont été…

Pas encore abonné(e) ?

La suite de cet article est réservé aux abonné(es) de Guyaweb.

Votre soutien nous permet de vous apporter des informations d’intérêt général et de qualité. « La liberté de ton a un prix » : Rejoignez-nous, abonnez-vous !

Lisez la suite pour 1€

Je m'abonne

Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous

Mot de passe oublié ?

Pas encore abonné(e) ? Abonnez-vous


Lisez la suite pour 1€

Je m'abonne

3 commentaires

  • bayaan

    C’est le monde à l’envers.
    Ce sont les auteurs de ce projet climaticide qui devraient être devant un tribunal.

    Il ne fait aucun doute qu’une fois la forêt détruite et les subventions détournées, ce projet, s’il aboutit, ne tiendra pas même quelques années.

  • MAIPOURI

    Bayaan, il semble que vous n’ayez pas bien compris le code pénal. En droit français, ce sont les délinquants qui sont traduits devant les tribunaux, pas l’inverse. Et le fait d’être écolo ou Amérindien n’y change rien… même si les activistes écolos et amérindiens ont tendance à l’oublier et à se croire au dessus des lois.

  • bayaan

    Mais délinquants, parlons-en. Monter des projets bidons et climaticides pour s’attirer des subventions , ce n’est malheureusement pas encore illégal. Pourtant, un peu de bon sens le montre : c’est de la délinquance.

    Par ailleurs, monter une usine Seveso à moins de deux kilomètres d’une agglomération, fut-elle habitée d’activistes écolo ou amérindiens, sans avertir clairement des risques, c’est illégal.
    C’est ce que vous n’avez pas compris, « Maipouri »

Laisser un commentaire

Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.

Articles associés :

Les mules : « on les repère facilement car ce sont des passagers qui ne mangent pas », dit un steward

Grands théâtres du trafic de drogue, les avions d'Air France et d'Air Caraïbes fourmillent d'anecdotes, un steward travaillant depuis une douzaine d'années s'est livré dans Ouest France. Ses ...

Deux nouvelles grues pour le Grand port maritime

Plus de deux ans après l'accident survenu sur les quais de Dégrad-des-Cannes lors du déchargement des grues à conteneurs, le Grand port maritime de Guyane a installé les deux mastodontes ...

Le Congrès des élus a presque bouclé les orientations politiques sur l’évolution statutaire

Samedi, lors d'un congrès consacré au processus d'évolution institutionnelle de la Guyane, les élus ont adopté à la majorité les cinq points de l'ordre du jour, permettant d'avancer sur les ...

Congrès des élus : la question autochtone reportée sine die

Un nouveau congrès des élus sur l'évolution statutaire se tient ce samedi 2 décembre, à partir de 9h, à l'hôtel de la Collectivité territoriale de Guyane. Selon son ordre du jour, ce ...

La Chambre de l’instruction de Fort de France décide le renvoi aux assises… en Martinique de Sylvain Kereneur pour « avoir volontairement donné la mort » à sa concubine Karina Gama De Souza

La Chambre de l'instruction de Fort de France a décidé cette semaine dans son délibéré  le renvoi devant une Cour d'assises... en Martinique de Sylvain Kereneur pour " avoir volontairement ...

La grand-mère, la mère et les petits enfants dont une mineure : la famille Pongo dans le trafic de drogue à Sablons

Avec son amant surinamais en cavale, Michael Zeegenaar, qui a écopé de la plus lourde peine, 9 ans, Lisette Pongo était la cheffe des « mules» a considéré le tribunal correctionnel du Mans en ...

Toutes les petites annonces ( 0 ) :

© 2023 Comimpex / Guyaweb . Tous droits réservés

Site Internet hébergé par Côté Cube