« Les droits de la nature sont un outil décolonial »
Dans son dernier livre Décoloniser le droit (éditions Wildproject, 2024), la juriste Marine Calmet souligne les liens entre dynamique décoloniale et reconnaissance des droits de la nature. Dans ce texte concis et percutant, construit sous la forme d’un entretien avec l’éditeur et anthropologue Marin Schaffner, elle s’appuie sur ses expériences de travail et ses engagements militants dans les luttes autochtones et environnementales de Guyane. Votre ouvrage avance une idée phare : en Guyane, « le droit français a été et reste un outil colonial ». Pouvez-vous préciser cela ? C’est un droit colonial parce qu’il n’a pas véritablement su prendre en considération…
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4 commentaires
On aura tout entendu pour justifier la présence des wokistes en Guyane
Mais alors qu’ils pensent servir la cause de la décolonisation alors que C’est tout le contraire , déjà ils bossent pour la plupart pour l’etat ou des agences gouvernementales
Le prétexte ecologique permet de maintenir les populations dans la dépendance envers la France puisque aucun développement endogène ne peut ce faire sans l’accès au resources naturelles
Et pensent-ils que les amérindiens qui représentent 5% de la population et l’environnement seront mieux défendu sans la France ?
Les indépendantistes qui ce servent des amérindiens comme boucliers afin de faire passer leur projet veulent juste exploiter pour leur compte les resources du territoire
Naïvement, bêtise, complicité , ignorance ??
Les multinationales obligés de ce retirer ces dernières années ,attendent egalement la décolonisation pour revenir faire librement leur travail comme dans les pays voisins
Vous leur etes tres utile
La chine aussi vous aime , je suis pas sur qu’ils aiment vraiment les populations autochtones ni la forêt par contre
Comme on dit dans ces cas-là, c’est celui qui a les centaures qui a raison…