CEOG/Prospérité : l’enjeu environnemental, l’autre versant du dossier
Alors que la contestation autour de l’emplacement de la Centrale électrique de l’Ouest guyanais (CEOG) ne faiblit pas, le combat pour le déplacement de l’usine se joue aussi sur le terrain du droit. Dans le viseur des militants, la présence d’une trentaine d’espèces protégées sur le site de la centrale sans que l’État ait jugé nécessaire de demander une dérogation à l’industriel et des faits supposés de pollution dans les cours d’eau aux abords du site. Plusieurs procédures judiciaires sont en cours. Les deux audiences prévues mardi 9 mai au tribunal du Larivot, au cours desquelles quatre personnes opposées à…
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2 commentaires
Pendant ce temps, le projet du Larivot se poursuit…
La première espèce menacée par cette centrale, c’est l’espèce humaine, celle que représentent les habitants de Prospérité, puisqu’une installation de cette taille et de cette production doit se trouver à plus de 3 kilomètres des habitations. On est loin du compte.
Ensuite, si on comprend bien une telle interdiction, on va avoir le culot de nous dire que cela n’affectera en rien la faune de l’endroit ?
Mais ces gens nous prennent pour des demeurés.
Quant à l’Etat, on sait le cas qu’il a toujours fait de la protection de la faune, de la forêt et du respect des droits des peuples autochtones.