Vendredi 29 Mars

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Royal ne soutient pas le barrage

Royal ne soutient pas le barrage

La ministre de l’Écologie, Ségolène Royal n’est pas franchement favorable à l’éventualité d’un second barrage en Guyane, mais renvoie à un échelon régional les discussions en matière de mix énergétique. Ségolène Royal a été interpellée par le député Serville, ce mardi 5 mai lors des questions au gouvernement, (voir la vidéo) un mois après la contestation levée par le conseiller régional d’opposition José Gaillou du choix du bureau d’étude Tractebel engineering, filiale de GDF-SUEZ (Guyaweb du 09/04/15) pour la conduite d’une étude d’opportunité portant sur un deuxième barrage hydroélectrique, et quelques jours après la conférence de presse alarmiste donnée par le…

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22 commentaires

  • Elle ne vit pas en Guyane; sa position est donc normal tout comme celle des expatriés. Ils ne vont pas subir les coupures intempestives par manque de capacité de production.
    Développer un pays c’est maîtriser et offrir de l’énergie.
    Mo bon ké sa

  • Bonjour
    Si la maitrise des énergie renouvelables est indispensable , une réduction drastique de la consommation des énergies est fondamentale pour notre futur énergétique . L’un ne va pas sans l’autre .
    Tout n’est pas rose : Le solaire ne produit au mieux en Guyane que quatre heures par jour en moyenne .
    L’éolien n’est pas mieux loti avec des vents faibles ou nuls la plupart du temps .
    Les « merveilleuses » éolienne allemande ne produises en moyenne que 25% de la puissance installée . Vu la différence du régime des vents , imaginez ici !

    Reste le gros problème du prix des sources d’électricité renouvelables et de leur maintenance qui sont largement surévalués .
    http://www.economiematin.fr/news-developpement-durable-business-ecolos-verts .

    Salutations

    • Johann

      Pas de vent en Guyane ? Je le gausse. Vous ne devez pas allez souvent sur les plages du littoral depuis décembre. Le vent souffle en quasi continuité avec la ZIC.
      Le solaire 4h par jour ?!
      Je préfère ne pas rentrer dans une polémique stérile. Je vous laisse néanmoins le soin d’aller vous documenter un peu mieux à tous les niveaux, vents, matériaux de production photovoltaïque, etc.

      Bien cordialement.

      • Bonjour Johann
        Vous devez avoir oublié ou ne pas savoir qu’à l’installation du relai de télévision de l’ilet La Mère il y avait été mis en service une éolienne pour son alimentation électrique .
        Elle a été remplacée par des panneaux solaires suite à de nombreux arrêts d’émission provoqués par les longues périodes sans vent suffisant .

        Ce n’est pas le tout que le vent souffle , encore faut-il qu’il ait suffisamment de vitesse , ce qui n’est pas le cas souvent en Guyane .
        Pour vous donner une idée : la force du vent sous un grain est la bonne vitesse pour être « intéressante » pour une production éolienne .

        Pour ce qui est du temps de production journalier du solaire moyenné sur un an : Les panneaux solaires ne produisent réellement qu’entre 8 h et 16 h , le soleil étant trop bas avant et après . Les passages nuageux font perdre les 4 heures restantes . Cela est une moyenne annuelle y compris des passages pluvieux de plusieurs jours sans soleil .
        Utilisant une installation solaire dont je fais aussi la maintenance depuis plus de 20 ans je suis bien placé pour en parler .
        Heureusement j’ai un groupe électrogène qui comble les trous de production solaires …….
        Salutations

  • Allez, c’est pas grave ! Préparons nous à mettre en place de grandes stations balnéaires sur le futur lac de retenu (Mana ou Approuague). Ca fera « décoller » l’économie guyanaise ! Youhou ! Ah mince… j’oubliais qu’il n’y avait pas de touristes…

    -_-

    Je ne veux pas dire que le solaire soit écolo-réglo (silicium ? ça vient d’où à votre avis), que l’éolien soit utile et beau (sauf peut-être au large ?), ni que la biomasse sente bon l’énergie écolo (il faudrait surtout avoir une vraie filière bois pour la rendre intéressante), mais… un second barrage ? Franchement…

    Je suis un peu navrée que nos hommes politiques n’arrivent pas à chercher des solutions plus innovantes. Enfin bon. Si EDF dit qu’il faut tout plein d’énergie pour les petits guyanais de demain, alors on va les laisser nous pondre tout plein d’énergie. Qu’est ce qu’on peut y faire sincèrement ? Qui en Guyane prend le temps (quand il est au courant) de participer aux consultations publiques ? Ont-elles réellement un impact sur les choix des hommes politiques et des gros lobbys (BTP, Energie, …)

    Blasée.

  • Bien sûr, on nous dit que l’énergie solaire n’est pas suffisant. Mais en Guyane, il y a du soleil ! Ce dont il faut se rappeler, c’est que lorsqu’on produit de l’électricité en tant que particulier, nous devons le vendre à EDF qui doit nous la racheter. Et le prix de rachat est, à priori, et je dis bien… à priori… supérieur au prix de revente.
    Alors imaginez un peu… il n’y aurait pas du lobby anti énergie renouvelable là ?
    Mais si on fait un nouveau barrage, devinez qui va vendre l’électricité sans avoir eu à l’acheter. Tout çà en plus financé par des fonds publics…
    On essaierait pas de nous faire payer deux fois là ?

    • PapaouT

      Chère Hortense75, le solaire c’est bien quand il y a du soleil. Quand celui-ci vient à manquer (tous les soirs vers 18h30 jusqu’au lendemain 6h45) plus d’électricité sauf si on prend soin de la stocker dans de grosses batteries bien chères et bien polluantes au terme de leur vie (8 à 10 ans). Les derniers parcs solaires sont de ce type et nécessitent de gros investissements, ce qui peut justifier le prix d’achat de l’électricité.
      Il serait faux et dangereux de laisser croire qu’EDF s’enrichit sur le dos des Guyanais. Il existe une structure particulière « EDF systèmes insulaires », qui comprend la Guyane, qui bénéficie de dérogations dans la réglementation européenne et peut vendre son électricité à perte. Ainsi, en Corse et en outre-mer, le coût de revient de l’électricité est, dans le meilleur des cas, deux fois plus élevé que son prix de vente au tarif garanti par la péréquation tarifaire nationale.

      • Très cher PapaouT, Je suis bien d’accord avec vous. D’ailleurs la vrai question ici ce n’est pas le prix, mais le moyen. Nous parlons là de production d’énergie alternative. Ce qui ne veut pas dire que le solaire ou l’éolienne, ou tout autre moyen va remplacer le barrage du petit saut mais apporter un complément pour éviter d’en construire un autre. Alors de 18 h à 7 heures du matin, l’électricité du petit saut fera l’affaire.
        En plus, si chacun y met du sien et adopte une attitude de consommateur responsable, je suis certaine que l’électricité déjà produite complétée par les moyens alternatifs suffira. Non ?
        Alors arrêtons toutes ces clims qui fonctionnent jour et nuit, même quand il n’y a personne dans les locaux…parfois fenêtres ouvertes… et laissons la douce bise guyanaise nous bercer.

  • Johann

    Un nouveau barrage apporterait effectivement l’énergie nécessaire à la Guyane pour les prochaines années mais à quel prix ? Nouvelle catastrophe écologique, disparition une nouvelle fois de la foret primaire, augmentation de l’orpaillage illegal avec des accès beaucoup plus facile pour les flux logistiques (c.f. Petit Saut), grosse production de méthane (gaz à effet de serre 50x polluant que le CO2, disparation d’une quantité incommensurable de la faune, et j’en passe.

    Quel est votre problème avec les énergies alternatives ? J’ai du mal à comprendre. Ouvrez un peu les yeux pour vous rendre compte que de puissants lobbies ont tout intérêt à construire un barrage en Guyane. EDF et autres grands groupes de construction dont le but est de remplir les poches de leurs actionnaires.

  • Jo

    l’energie a partir de biomasse ( dechet de bois ordure ou coup gere de bois)
    Offre le plus gros rapport kwh emplois
    un departement a fort taux chomage avec autant de bois devais la privilegier

  • Maiouri Nature Guyane

    Ce projet de second barrage est dévastateur en terme de biodiversité et une véritable gabegie en terme énergétique. Son existence dans le programme politique local répond seulement à la demande en énergie des multinationales minières, à l’instar de la Multinationale canadienne Colombus Gold, à qui l’on a bradé l’or du sous-sol de la Guyane, sans véritables retombées économiques et sociétales.  

    Mais c’est aussi un exemple remarquable de ce qui est qualifié en Europe de « Grands Projets Inutiles et Imposés » (GPII) et influencés par les lobbies du BTP et de l’Énergie.

    En aucun cas, ces mega-projets ne viendront améliorer le quotidien des guyanais.
    En mars 2014, lors de la conférence-bilan des 20 ans d’existence du barrage de Petit-Saut, les scientifiques indépendants d’EDF (sic), ont avoué n’avoir pas pris en compte les changements climatiques annoncés par les climatologues du GIEC – (à savoir de longues saisons sèches et des pluviométries bien moindres sur l’Amazonie) !

    Pire encore !  On a pu apprendre à la conférence que les rejets en gaz à effet de serre (CO2)  d’un tel barrage sont bien plus importants, à moyen terme, qu’une centrale thermique ! Ces rejets nocifs du barrage deviennent identiques seulement au delà de 72 ans de fonctionnement  du barrage (par rapport  à une centrale Fuel) !

    En d’autres termes, après 20 ans de fonctionnement, notre barrage est bien plus nocif pour la planète, qu’une centrale thermique même aussi obsolète que celle de Dégrad-des-Cannes , et le restera encore des dizaines d’années  ! Nous sommes donc bien loin des schémas idéalistes que les lobbies de l’énergie ont bien voulu nous faire croire !

    Enfin, en terme de coût pour le contribuable, une étude récente brésilienne indique que la production photovoltaïque coûte 30 à 40% moins cher dans le contexte amazonien que l’hydroélectricité issue de gros barrages de type Petit Saut.

    Ce second projet de barrage en terme d’impact : c’est détruire plus de 100 000 ha de forêts primaires qui n’ont même pas été inventoriées en terme de biodiversité et de chimio-diversité, c’est accepter de voir disparaitre 100 000 ha de grumes valorisables, c’est voir disparaitre 100 000 ha de terres agricoles potentielles…

    Enfin, Maiouri Nature exige l’arrêt de l’étude de faisabilité d’un second barrage en Guyane, octroyé par la Région Guyane à une filiale de GDF Suez, grand constructeur de barrage au Brésil. Le Conseillé régional, élu écologiste de l’opposition, José Gaillou à d’ailleurs dénoncé sur son blog un probable conflit d’intérêt dans l’attribution de ce marché public.

    Lire le dossier complet sur :
    https://sites.google.com/site/maiourinature/actualites-2011/a-qui-profiterais-un-second-barrage

  • La simple évocation d’un deuxième barrage en Guyane est une aberration. Les élus qui le promeuvent donnent une image tristement réelle d’eux-mêmes.

    Que quelqu’un explique à Monsieur Serville et aux autres trébucheurs professionnels que l’économie guyanaise n’a jamais été impactée par l’absence de KW. Les problèmes de l’économie guyanaise sont sans rapport avec la fourniture d’électricité. La Guyane serait heureuse si elle pouvait être confrontée à une insuffisance d’électricité pour son économie galopante…
    (Précisons que l’industrie de braguette ne fait pas partie de l’économie.)
    http://lenergeek.com/2014/08/06/centrales-nucleaires-flottantes-une-filiere-davenir-en-russie-et-en-asie/

    • C’est la deuxième fois que Serville interpelle Royal publiquement, il est clairement contre, que vous faut il de plus?

      • Il faut juste arrêter d’invoquer la nécessité imaginaire d’une économie inexistante. Le problème n’est pas le plaidoyer pour l’énergie, le problème est que l’attribution du sous-développement de la Guyane à la question énergétique fausse le débat sur les modalités de l’amorçage du développement économique. Des incompétents se sont emparés de ce sujet pour parler de développement, faute d’avoir d’idées pertinentes.

        Si Monsieur Serville est contre le barrage.. il devrait peut-être le clamer plus fort, car Guyaweb n’a pas l’air convaincu…

        Energie et développement économique sont pour l’instant complètement déconnectés en Guyane. Qu’ils en parlent au moment voulu. Ce qui ne devrait pas les empêcher de faire les bons choix et d’oublier enfin cette idiotie que sont les barrages dans un pays plat, tropical de surcroît.
        Plus je regarde les élus guyanais,plus je les trouve désarmés sur le plan cognitif. Désastreux.

  • Regardez ce lien, c’est là…
    Exploitez la surface du lac (ou une partie) pour poser des panneaux photovoltaiques!!!
    On a le lac… :D

    Le besoin en énergie de la Guyane n’est pas une blague, il faut vraiment trouver des solutions de productions énergétiques rapidement. C’est la réalité, et de toute façon, nous ne pourrons faire l’économie d’un bout d’espace naturel pour y arriver. Pourvu qu’il soit le moins riche possible.
    Le lac de Petit Saut a une surface intéressante à exploiter pour cette solution, sans forcément empêcher un développement touristique à l’échelle du territoire des Savanes. Les biotopes sont en reconstruction, le lac semble stable. Une étude dirait rapidement si l’idée est réalisable et à quel prix, à tous les niveaux le prix…

    J’adore… Je suis pour qu’on en discute. Et pour associer cette idée de production d’énergie à d’autres : usines marées motrices, hydrolienne, éoliennes, micro centrales au fil de l’eau, salle de sports, et changer nos comportements de consommation électrique aussi, communiquer en somme. Plus, développement économique, besoin de compétences, formations… toussa.

    http://www.lexpress.fr/actualite/indiscrets/le-japon-va-construire-la-plus-grande-centrale-photovoltaique-flottante-du-monde_1305394.html

  • Alessandro de Sousa Alencar

    Pense-t-elle à une interconnexion intercontinentale? En tout cas dans l’État du Amapa nous avons plusieurs chantiers hydroélectriques en cours (Araguari, Jari et autres) avec achèvement prévu dans les prochaines années, totalisant plus de 1 Térawatt, 5 fois plus les besoins estimés pour ce état au moment des mises en opération et sans oublier l’interconnexion au Réseau National qu’assure que le surplus puisse être distribué au reste du Brésil et éventuellement fournir du courant électrique au-delà des frontières nationales brésiliennes… à voir…

  • Petit Saut à tous les atouts pour voir pousser sur sa surface une centrale photovoltaïque flottante !

    http://www.lexpress.fr/actualite/indiscrets/le-japon-va-construire-la-plus-grande-centrale-photovoltaique-flottante-du-monde_1305394.html

  • Carvalho

    Bravo Cosette

    Et avec le rendement énergétique de ces panneaux japonais, on double la puissance de Petit Saut (120 MW) sur moins de 2km² de lac. Ca laisse au moins 30 KM² d’eau libre (c’est Glou Glou qui va être content) et on touche pas à la forêt du bassin de la Mana (ni à la Mana d’ailleurs). Ah si Sirder pouvait lire l’Express…
    Ou alors, remplaçons Sirder ! On va justement avoir l’occasion en décembre…

    • Bonjour,
      j’ajouterais pour appuyer les propos de Pierre, Glouglou et Cosette que la société, Ciel et Terre, qui à developpé et installé ces centrales photovoltaïque lacustres est Française. En 2011 elle s’apprêtait à s’installer en Guyane via un partenariat local mais à due stopper ses ambitions suite au moratoire de 2010 sur les tarifs d’achats du PV.
      Après quelques années très difficile cette entreprise à sue rebondir à l’export ou elle fait les beaux jours du Japon, de l’Afrique du sud et d’autres pays. Une fois de plus la créativité des PME Française est sacrifiée au nom des intérêts des grosses sociétés.
      J’ajouterais que le pouvoir économique et politique de la France ne font pas parties de la solution mais du problème. En attendre quoi que ce soit que ce soit ne fait que retarder la mise en oeuvre de véritables solutions.
      A bon entendeur

      • Félicitations à cette entreprise. Qu’elle continue à l’export, car vous avez raison sur la nature du problème… La France est un pays à économie capitalistique à monopole d’Etat, autrement dit un pays communiste qui s’ignore.
        Sans nier l’utilité de la solution flottante, il le semble inutile pour la Guyane. Certainement plus onéreuse que l’installation terrestre, elle paraît plus adaptée à un pays où la superficie manque..
        Sans parler de l’inconvénient majeur qu’est l’incertitude de la production..
        Je réitère que le nucléaire flottant n’a aucun concurrent dans ces parages.

        A bon entendeur…

  • Au delà d’être une bêtise environnementale, ce second barrage n’est pas nécessaire. J’ai beau tourner les chiffres dans tous les sens, je n’en vois pas l’utilité avant 2050. Et qui sait ce que sera la Guyane d’ici là et qui sait les progrès faits par les renouvelables. De la maîtrise de l’énergie et des énergies renouvelables suffisent à assurer le développement de la Guyane, en créant des emplois durables (et pas one-shot comme le barrage).
    Surtout, EDF a joué sur le peur du manque avec l’arrêt de Dégrad des Cannes. Or Cette centrale tourne surtout quand le barrage de Petit Saut est vide (saison sèche, années de faible pluviométrie). Un second barrage, qui a présente les mêmes caractéristiques que le premier, donc la même courbe de production, ne saurait le compléter.
    Le plus désolant, c’est que la Région s’est laissé convaincre par des arguments fallacieux, montrant sa grande indépendance et sa grande compétence sur ce type de sujet. Elle va dépenser des sommes folles pour accoucher d’une souris. Nous avons vraiment 30 ans de retard : le mythe des grands projets qui a fait vivre la France dans les années 60 à 80, est à présent révolu. C’est par une somme de niches qu’on développera l’économie. C’est ce que font les allemands. C’est ce que proposent les énergies renouvelables et les économies d’énergie. Au final ça fait plus d’emplois, durables.
    NB : il faut moins de 10% de la surface du barrage pour produire la même énergie avec du solaire, et l’éolien ça peut marcher en Guyane, avec de grandes machines. On a donc pas mal de ressources à exploiter, plutôt que de leur mettre des bâtons dans les roues comme sait le faire l’état.

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