De Cayenne à Nouméa, le peuple autochtone en politique
Le 11 juin dernier, le Grand conseil coutumier de Guyane se choisissait un président et se préparait à entrer de plain-pied dans le débat public et politique. Le même jour, à 15 000 kilomètres de là, dans l’océan Pacifique, l’autre peuple autochtone sur un territoire français – les Kanak de Nouvelle-Calédonie – présentait son dispositif en vue de la campagne du référendum sur l’indépendance, prévu pour le 4 novembre. Les Kanak disposent déjà d’un Sénat coutumier, du pouvoir exécutif dans deux provinces sur trois et sont extrêmement bien représentés politiquement à l’échelle de leur pays. « Depuis le « réveil kanak » puis…
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