Sur le sujet dépaysement judiciaire, fin novembre, aucun des trois avocats interrogés par Guyaweb et donc opposés au dépaysement de l’affaire, au regard de leurs réponses, n’avait formalisé de mémoire contestant cette demande de renvoi de l’affaire vers une autre juridiction Or, l’article 665 du code de procédure pénale semble clair, le délai imparti aux avocats du dossier après réception de la demande de dépaysement est d’un mois : et, selon nos information, plusieurs parties au dossier ont reçu signification par huissier de cette demande de dépaysement vers… la mi-octobre. «C’est donc fini pour le faire…», en déduisait Me Constant fin…