Vendredi 19 Avril

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« Cela reste toujours 122 sites de trop »

« Cela reste toujours 122 sites de trop »
Entretien avec le directeur du Parc

Arnaud Anselin, directeur du Parc Amazonien par intérim, a répondu à nos questions suite au compte-rendu adressé aux administrateurs du Parc, en ce mois de novembre, de la dernière mission de survol qui a inventorié, fin août dernier, les sites illégaux sur ce vaste espace protégé (voir cet article). Entretien. Guyaweb : Selon le bilan de votre dernière mission de survol, on est passé à 122 sites aurifères illégaux au sein du Parc amazonien. Mais en fait est-il judicieux de comparer ces chiffres avec ceux de fin 2016, de l’année 2017 voire de janvier 2018 qui auront été anormalement catastrophiques…

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4 commentaires

  • simplet

    Rien ne sert d’observer et de compter, il faut éradiquer
    Solution évidente, transférer les crédits du PAG aux forces armées en mal d’effectifs

  • Visiteur.

    41% du nombre de mots est consacré à la présentation et aux questions de Guyaweb.
    Merci pour cet article intéressant.

  • jmmPAG

    En matière de lutte contre l’orpaillage illégal, le rôle du Parc amazonien ne se cantonne pas du tout à une mission d’observation et de renseignement.
    Nous disposons de 15 inspecteurs de l’environnement, commissionnés, armés, dotés depuis la loi égalité réelle outre-mer de 2017, de pouvoirs de police judiciaire permettant, au même titre que les gendarmes, de procéder à des opérations de saisie-destruction sur les sites d’orpaillage. Depuis le début de l’année 2018, notre présence sur le terrain correspond à 525 hommes-jour, dont 85% sont consacrés à des opérations de lutte (recherche et destruction de sites illégaux), souvent réalisées conjointement avec les militaires et/ou les gendarmes, et 15% seulement à des opérations de prospection (dont les survols pour repérer/comptabiliser les sites).

  • FF

    Bonjour Visiteur, les remarques questions et relances ont besoin d’être étayées lors d’entretiens journalistiques. Nous essayons de ne pas nous contenter du journalisme douanier, ce qu’un ancien confrère définissait ainsi : le journaliste douanier est celui qui se contente de demander à son interlocuteur : « qu’avez-vous à déclarer ? ». Ceci étant un peu sévère pour les douaniers qui cherchent, aussi.

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