Affaire de la cité Médan : un jeune de 17 ans mis en examen pour « viol sur mineure de moins de 15 ans »
Concernant l’affaire sordide de la cité Médan (voir notre précédent papier sur le sujet), l’un des deux mineurs mis en examen dans ce dossier, un jeune homme âgé de 17 ans, a été mis en examen pour » viol sur mineure âgée de moins de 15 ans » a-t-on appris lundi soir d’une source proche de l’enquête. La présumée victime avait en effet un peu moins de 14 ans au moment des faits présumés. De même source, ce jeune homme de 17 ans aurait été placé « en détention provisoire », ce que semblait ignorer la famille de la présumée victime lundi soir….
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14 commentaires
M . Farine , Bravo pour votre enquête ,même si toute vérité n’est pas bonne à dire.
Déplorable histoire, regardons la réalité en face notre société indique que la femme est un objet.
Beaucoup d’homme et femme sont éduquer sur des réseaux sociaux, vidéo pornographique .Nos enfants ont accès dès leurs plus jeune âge à internet, un monde ouvert ou ils ne peuvent pas distinguer le bien ou le mal.
Un viol de plus ou un viol de moins est devenu banal en Guyane, souvent considérer comme une renommée par les auteurs. Filmons l’agression et le postant sur internet.
Nous fermons les yeux, nous regardons ailleurs, Nous disons que ma Guyane est belle, elle est pleins de richesse.
Mais que reste-il lorsque le masque tombe ?
Une Guyane de terreur, violence, décadence, est de loin le 1er département de faits divers.
Triste à dire mais l’hypocrisie est un don chez nous.
Pourquoi heu….j’ai l’impression d’avoir déjà entendu cette histoire, il y’a pas de suspens…
La justice fonctionne que dans un sens….
Détention provisoire = liberté.
Jugement = non coupable.
3 jeunes filles de 14 ans et 3 adolescents dans un même appartement en vue d’avoir des rapports sexuels : bienvenu au pays des grossesses précoces…
Qui sont ces jeunes ?
Nous devons savoir c’est le droit de précaution pour éviter à la vue de cette voyoucratie d’autres problèmes. C’ est notre DROIT, de savoir, pour protéger notre société. Je réclame ce droit de PRECAUTION, ce Droit ne serait il pas donné aux citoyens
Ha… 17 ans, ruée sur les stéréotypes… « Quel est son prénom ? Que font les parents ?
Que fait la société ? » Ha… 17 ans… l’âge de mon fils. Je me poserais comme question, avant de chercher des coupables et des responsables, comment il est devenu ce qu’il est devenu ? La plupart des adolescents devenus délinquant sexuel ont connu pareil sort dans leur tendre enfance. Il n’y a pas qu’ 1 coupable dans cette histoire mais 3. Mais bon, c’est toujours plus facile de désigner un seul coupable. Bon sang, 17 ans, 17. Et on se rue dans les commentaires que je lis comme si ce gosse avait connu toutes les expériences de la vie et on devrait mettre fin à son existence à 17 ans. Oui, on va me rétorquer, « tu ne comprends rien, si c’était ta femme ou ta fille la victime ? Tu ne vis pas dans les cité où les « jeunes délinquants » font la loi…. etc… ». Si c’était un de mes proches la victime, je voudrais comme beaucoup le massacrer.
Ça veut juste dire que je suis humain et aimant mes proches. Mais surtout je voudrais dans ce cas que cette histoire n’arrive à personne d’autre et je compterais sur les instances dirigeantes de ma GUYANE pour cela. Pour que ça ne recommence pas, on ne peut faire « disparaître » le « monstre » mais empêcher ce qui entraîne la création de ce dernier : la pauvreté, sociale, familiale, éducationnelle, …. Purée… 17 ans.
Je nie pas l’existence de facteurs qui facilitent la prédisposition au viol, comme en avoir subi soit même, être déstructuré de par la pauvreté, l’absence de parents et j’en passe. Mais à l’heure de la mondialisation ou même les jeunes les plus pauvres via leur groupe de pairs, relations etc ont accès au net et donc aux infos, j’estime que ce n’est pas une excuse ou du moins une circonstance atténuante. J’ai été élevé sans père (décédé) et une mère qui pourvoyait à mes besoins mais absente sur le plan éducatif entre mes 8 et 16 ans pratiquement. Ai je pour autant mal tourné? Non, car j’ai ce qu’on appel un esprit critique, j’ai été confronté à des amis très proches fumant de la drogue devant moi, à trainer où certains de mes amis ou connaissances pratiquaient des petits larcins, ou faisaient les idiots en risquant leur vie, les ai-je pour autant suivi? J’avoue avoir été par des pratiques à risque mais ayant vu un ami mourir à l’âge de 10 ans suite à un jeu risqué, ça m’a toujours permis de faire le bon choix. Il y a donc aussi le caractère d’un enfant ou d’un ado qui joue, peut-être qu’effectivement certains sont plus armés que d’autres mais quand un mec met son pénis de force dans le vagin d’une fille (soyons réaliste sans fausse pudeur), que la fille se débat, crie ou pleure de douleur etc: IL SAIT TRÈS BIEN QUELQUE PART QUE CE QU’IL FAIT EST MAL! A moins d’être en plus d’un violeur, un sociopathe, or tous les violeurs ne sont pas de sociopathes que je sache. C’est trop facile de mettre la faute sur la société, nous avons un cerveau et devons en faire bon usage, pour ma part j’ai toujours dit à mes potes « arrété ké zot couyanad, a zot mèm ké zot cor, mo pa la pou conèt zot! » Genre, j’ai prévenu que libre à eux de faire des conneries mais de ne pas venir pleurer quand il faudrait assumer les conséquences. Encore aujourd’hui je me tape parfois le taf de « travailleur social » (je ne le suis pas), en conseillant quelques personnes, j’ai même du intervenir plusieurs fois pour empêcher que des violences conjugales ou bagarres finissent mal mais à un moment la lassitude vient, et tu te dis « mais quand est-ce que les gens vont grandir », « quand est-ce que les gens auront ce qu’on appel de la jugeote ». La pauvreté ce n’est certainement pas une fatalité, je suis désolé! Et la vie, tu en as une seule, c’est un « privilège » et la case prison n’est certainement pas un cadeau, avant de faire une connerie, toujours penser à la privation de liberté et ce qu’on risque en prison…On est assez prévenu comme ça sur toutes sortes de risques, cf nombres d’actions de prévention dans le milieu scolaire, à la TV etc…
Marabout, tu ne sais pas lire ?
« …Selon les premiers éléments, les deux autres collégiennes n’auraient pas accompagné leur jeune amie à l’intérieur de l’appartement mais seraient restées à proximité…”
Pas la peine d’en rajouter ou de te faire ton film
Reprenons, elle entre dans l’appart avec son copain à 14 ans pendant que 2 camarades fille et 2 camarades garçons attendent devant la porte. Bien évidemment, ils attendaient l’heure des dessins animés et non pas, comment peut-on oser l’imaginer, leur tour.
Bienvenu dans le pays des grossesses précoces où les adultes se voilent la face…
C’est pas ce qu’on lit de l’article Marabourricot
J’y comprends que les deux autres garçons n’avaient rien à voir avec les deux filles qui attendaient
Tu n’y étais pas, tu ne connais pas de témoins de cette affaire, tu es derrière ton clavier mais tu sais comment ça c’est passé
La société n’est pas responsable.
De même qu’il y a une certaine proportion de myopathes, de trisomiques et de nains, il y a une certaine proportion de malades sexuels.
Il faudrait juste pouvoir les repérer pour les mettre en hôpital psychiatrique avant qu’ils ne passent à l’acte.
Il serait intéressant d’avoir la version de leurs distingués géniteurs au sujet des faits qui sont reprochés à leur ENFANT.
Qu’on ne vienne pas me dire qu’ils ne savaient pas !
Dans leur propre appartement
Quand on aime ses enfants on remarque ces choses-là et on y met bon ordre.
Les parents en taule !! Le gamin en maison de redressement !!
Qu’on s’en réjouisse ou qu’on le déplore, avec la législation en vigueur et l’idéologie angéliste prégnante dans le milieu de la magistrature, ces ados ne risquent strictement rien.
Une fois majeur, ils risqueront quelques sursis et, éventuellement, de courtes peines.
Ils ont déjà compris que, dans notre société, les femmes étaient pour eux des choses, des objets avec lesquels ils pouvaient assouvir toutes ses pulsions en bénéficiant d’une quasi impunité.
Le voilà parti pour une carrière de prédateur sexuel d’environ une cinquantaine d’année.
Dans un mois un de ces experts psychiatres le certifiera inoffensif, bénéficiant de fortes chances de réinsertion et réhabilitation, dans deux mois il est en liberté surveillée.
Si, pour assurer une relation thérapique dans la convivialité et un suivi psychologique efficace, un certain pourcentage de violeurs inoffensifs étaient obligatoirement assignés à résidence dans le quartier même de ces psychiatres si experts, y aurait-il autant d’inoffensifs libérés si promptement?
Allez, rendez-vous à dans 2 ans, pour le procès pour viol suivi de tortures et assassinat.
Et rendez-vous à dans 5 ou 7 ans pour le procès de la récidive.
Deux ans ferme pour deux jeunes de “la société bourgeoise de Saint-Denis”( Réunion 974 ) pour une agression de 2009.
http://www.clicanoo.re/444932-deux-ans-ferme-pour-deux-jeunes-de-la-societe-bourgeoise-de-saint-denis-pour-une-agression-de-2009.html
Et oui il y’a une justice sur cette terre pas toujours,mais bon même les puissants peuvent aller en prison après avoir commis un viol.