Vendredi 29 Mars

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A Balata, on sèche les cours pour sauver sa peau

A Balata, on sèche les cours pour sauver sa peau

Bien qu’il soit placé sous la convention sécuritaire « évidence », étudier dans des conditions respectueuses n’en est pas une au lycée de Balata. Après l’agression d’enseignants d’EPS le 21 janvier dans le gymnase, la communauté éducative demande un réveil collectif. Mais pour le recteur, la sécurisation du lycée, « évolue positivement ». C’est vrai ! Plutôt que d’armes à feu, jeudi*, les intrus étaient munis de menues « barres de fer ». On devrait bientôt voir s’ériger un « grillage » autour du gymnase du lycée professionnel de Balata, et un « mur » pour ceindre le collège Albert Londres de Saint-Laurent. Situation peu glorieuse, mais rempart aux « intrusions » de « jeunes…

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15 commentaires

  • Acoupa

    Conclusion magistrale et… révélatrice

  • Pas de vagues… Pas de vagues… Vos instructions sont claires Monsieur le Recteur… Pas de vagues !

    • Comme en Métropole, les plus hautes autorités de l’Etat et des Collectivités territoriales s’installent dans le déni des réalités. Si on tait les problèmes, il n’y a pas de problème…

  • Tout ça est faux, moi même je suis lycéen et plusieurs chose son faux dans cette article les journaliste on écrit l’article sans même mener aucun enquête au saint de l’établissement.Ce qu’il on fait est dégelasse il salisse la réputation du Lycée car depuis que Madame N’GOLO et Madame TINE sont arrive beaucoup de chose on changer on ce sans plus en sécurité car les gendarme fond des ronde régulière autour du Lycée il y a beaucoup beaucoup moins de braquage et la CPE n’allait jamais jamais dire cela aussi aucun élève a peur de prendre les transport en commun au contraire le nombre de personne qui prend le bus a augmenter cette année moins de parent vient cherche leur enfant et aucun prof D’EPS on été agresse ses deux élève qui on été agresse qui on reçut un dédommagement. En gros tout est faux sur l’insecurite du lycée car moi personnellement je me sent de plus en plus en sécurité.

    Désoler pour les faut d’orthographe ;)

    • Acoupa

      Jacinthe qui travaille au rectorat et qui joue l’élève. procédé vieux comme le monde.

    • Celeri

      En tous les cas là où il y a un vrai problème c’est dans l’écriture de la grammaire et l’orthographe… Ça craint tant de fautes pour un lycéen. Que font les profs?

      • Ce lycéen n’est peut-être pas de langue maternelle française. C’est assez fréquent en Guyane

  • Travail journalistique de très bas niveau les faits sont erronés. Vos sources sont mauvaises. Vous parlez du sentiment des élèves sans les interroger… Un torchon. ..

  • Contrairement à ce que vous avez écrit 2 élèves ont été agressés et non des professeurs. Tout est faux… La journaliste à dû faire ses études à Balata et brûler les cours. … zéro madame. ..

  • C’est totalement faux ya rien de tout sa

  • Oui c’est assez consternant cette vraie fausse intervention d’une prétendue élève pour tresser des lauriers à la direction de cet établissement. Très douteux. Est-ce le bon moment ?

  • Point de joutes verbales ou autres écarts de langage en réaction à cet article…une simple analyse, la plus objective possible…
    Le titre : « A Balata, on sèche les cours pour sauver sa peau » : le journaliste web, quelle que soit sa formation initiale, est sensé avoir atteint une maturité intellectuelle suffisante avant la publication de tout écrit– l’usage d’un vocabulaire trivial ne peut qu’interpeler quant à la nature du contenu de l’article.
    Sous le titre, une photo d’archives représentant le visage d’une jeune fille ( du lycée Balata ?) en gros plan et d’autres jeunes filles ( de Balata ?) en arrière-plan : nous sommes à Balata ( enfin, je crois, d’après le titre…, mais d’après la photo, j’en doute puisqu’on sèche les cours ).
    Quant au chapeau de l’article , soulignons ici , la lourdeur de la plume journalistique : « Bien qu’il soit placé sous la convention sécuritaire « évidence », étudier dans des conditions respectueuses n’en est pas une ( sous-entendu « évidence ») au lycée de Balata.
    Un peu de fluidité dans les propos…
    La verve linguistique des écrits se poursuit par une légère pointe d’humour : « Plutôt que d’armes à feu, jeudi*, les intrus étaient munis de menues « barres de fer ». Petit clin d’œil conjoncturel sarcastique, j’adore…( cependant, pourquoi avoir utilisé le qualificatif « menues »….ah, suis-je bête ! pour rimer avec « intrus »)
    Que dire de l’article ? Après une foquale sur le lycée Balata, on évoque le cas du collège A.Londres de St Laurent puis retour à Balata ( ça faisait longtemps…), l’incident est évoqué et l’on conclut que « rien n’a été fait »…
    Ouf, tout de même quelques avancées…depuis la diffusion d’un communiqué de presse.
    Sur le plan de la forme, l’article est agrémenté d’interviews diverses , mais en filigrane, une impression de « non fini »… Attention à la frustration du lecteur.
    En effet, face au « problème d’insécurité global. Les élèves en sont les premières victimes, rackettés ou violentés si souvent que nombre d’entre eux préfèrent être en retard ou ne pas venir. » Mais nulle part dans cet article, je ne trouve de « paroles » d’élèves, de parents , d’enseignants …
    Où sont les principaux témoins et acteurs de cette dérive sociétale ?
    Etre journaliste, c’est « recueillir des informations, les vérifier dans le respect de l’ éthique professionnelle et les restituer afin qu’elles soient accessibles au plus grand nombre ».
    Cessons de nous « voiler la face », ce quartier est sensible, voire criminogène, mais arrêtez d’associer, volontairement , de surcroît, le quartier au lycée. Pourquoi de telles campagnes de dénigrement ? Etes-vous sûre que rien n’ait été fait ? Un article du jeudi 28 janvier parle de la condamnation à la prison ferme pour les agresseurs de Balata. Réaliste, mais positiviste !
    Je suis parent d’élève et puis vous assurer qu’à Balata, « on ne sèche pas les cours pour sauver sa peau… »

    • Cher parent de Balata membre de la communauté éducative vous devriez dispenser des cours à lauteur de cet article inqualifiable… Votre réponse est d’un autre niveau… que l’auteur de cet article retienne bien la leçon.!!!! 20 Cher parent

  • Une décision judiciaire sans précédents une partie des auteurs des actes de violence commis aux abords de l’établissement ont été sévèrement sanctionnés par la justice. 18 mois de prison 15 mois assortis d’un sursis. Réparation du préjudice subi par la victime à hauteur de 2500 euros. Un établissement qui se porte partie civile indemnisé à hauteur de 100 euros. Une première dont vous devriez faire état. Merci à la justice merci Me Beulque merci à la direction de cet établissement merci à l’ensemble de la communauté éducative qui ne vis pas ce que vous décrivez chère madame . Je plains la Cpe vous avez sorti ses propos de leur contexte… no comment. …

  • Tout ça est faux moi ca fait deux ans que je suis aux lycée de balata, j’ai vu beaucoup d’amélioration donc tout est faux.

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