« Mobilités, ethnicités, diversité culturelle »
« Mobilités, ethnicités, diversité culturelle : La Guyane entre Surinam et Brésil, éléments de compréhension de la situation guyanaise » est paru en 2016 aux Éditions Ibis Rouge. La publication découle du programme d’une unité de recherche en projet de l’université de Guyane (la Minea : Migrations, interculturalité et éducation en Amazonie) en partenariat avec l’observatoire Hommes milieux Oyapock du CNRS. Le recueil a été placé sous la direction du professeur d’université d’histoire contemporaine Serge Mam Lam Fouck et de l’anthropologue Gérard Collomb. Les chercheurs qui publient exercent à l’université de Guyane, à l’université de l’Amapá à Macapá, à l’université Antom de Kom de…
Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite, identifiez-vous ou abonnez-vous.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Abonnez-vous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à l’intégralité de Guyaweb
Abonnez-vousLaisser un commentaire
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
3 commentaires
« s’interroger sur la possible vocation agricole d’espaces à proximité des villes et d’étudier la viabilité de l’interprétation haïtienne du jardin mélangé en milieu amazonien ». »
L’anthropologie et l’agriculture ne font visiblement pas bon ménage. A chacun son métier. Point n’est besoin de connaissances pour cultiver son jardin, il faut juste un peu de culot pour aller cultiver celui du voisin sans sa permission. Il faudrait également s’interroger sur la disparition de la forêt haïtienne et son possible lien avec l’émigration de la population.
c est vrai que le contraste entre les paysages forestiers de part et d’autre de la frontière entre la Republique dominicaine et Haiti sont époustouflants: voyez les photos aeriennes:
http://dr1.com/forums/showthread.php/107775-The-Conflict-Between-Haiti-and-the-Dominican-Republic/page6
Merci François pour ces photos qui parlent à elles seules. L’interprétation haïtienne du jardin mélangé prend tout son sens. Malheureusement, les stéréotypes des « pratiques agricoles des migrants haïtiens en Guyane » ont encore une longue vie devant eux, surtout lorsqu’on voit les sacs de charbon s’agglutiner le long des routes sans aucun contrôle…